Je me plaignais dans un blog précédent du silence au Pays
Basque sur les refus du repli identitaire. Ce silence a été brisé samedi 18
février dans Sud-Ouest et j’ai
présenté à Véronique Fourcade mes excuses pour mon impatience.
Voilà. Il faut dans ce domaine comme dans tant d’autres
beaucoup d’obstination. En politique, il vaut mieux jouer la trompette de Jéricho
que du piano de salon.
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