Aujourd’hui
se côtoient des marchés autorisés (sous contrôle de la police) et des marchés noirs.
C’est dans les provinces frontalières que le développement de cette économie
parallèle a été le plus marqué. « Dès que j’avais un moment de libre, j’empilais
les couches de vêtement sur moi, prenais ma fille sur le dos et filais au
marché. J’installais mon étal, je le repliais dès que la police arrivait. Quand
je me faisais prendre, les policiers confisquaient mes produits ».
Ce n'est pas la Goutte d'Or.libération 10 mai 2014 témoignage d'une exilée de la Corée du Nord.
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