Au
conseil municipal de Biarritz, ils sont tous debout, graves, pour une minute de
silence à la suite des attentats de Carcassonne.
Pour
les victimes de l’ETA, leur cul était de plomb. Jamais une minute de silence
pour les massacres perpétrés par des terroristes basques.
Pour
avoir droit à une minute de silence, il vaut mieux être abattu par un djihadiste
que par un etarra.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire