Le
combat contre le populisme basque, je le prends trop à cœur. C’est évident. Si l’objectif
était uniquement politique, sans investissement personnel, le renoncement
serait uniquement politique et cultivons notre jardin. Mais c’est peut-être mon
dernier combat, et je constate que je m’y attache trop. S’attache-t-on
davantage aux derniers combats qu’aux premiers ?
Ou
l’avant-dernier, peut-être, on ne sait
jamais. Faut-il interdire le cumul des combats, non seulement en
quantité : (pas plus de deux combats à la fois), mais aussi dans le temps.
Il serait interdit de mener le même combat pendant plus de deux fois cinq ans.
Ensuite, il faudra céder la place à d’autres.
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