jeudi 2 octobre 2014

une main fraternelle

Tu exagères, me dit un ami de la section socialiste de Biarritz. C’était quand même le bon temps. L’excitation, la camaraderie, la chaleur, le bon temps de l’engagement collectif, des lendemains qui chantent. Veux-tu venir en parler ? Bien entendu, Je suis prêt à porter la mauvaise parole partout où elle risque de ne pas être entendue. Quand nous tendions la main aux socialistes, c’était une main fraternelle. Une main de fer. 

1 commentaire:

  1. eh oui , c'était le bon temps de la sincérité, du détachement, de la bonne franquette sans arrière pensée!!! On y croyait...
    Maintenant , je n'y crois plus parce que aujourd'hui que signifie détachement?, générosité? simplicité? franchise? TOUT CELA A DISPARU....

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