Hitler,
Staline, Pol Pot, Mao, Pinochet, nous ont paradoxalement protégés contre les extrémismes.
Tout mouvement politique qui s’en approchait sentait le soufre. De même la
barbarie d’ETA ou de l’IRA nous a protégés contre les dérives identitaires.
Aujourd’hui, les souvenirs s’estompent. D’une part parce que le temps passe. D’autre
part parce que les héritiers de ces mouvements sont tous négationnistes. Ils
ont besoin pour se développer d’une mémoire atrophiée, d’une amnésie générale. Les
centres de recherche sur les périodes noires souffrent en Pologne et en Russie.
Les blanchisseurs de terreur en Pays Basque n’aiment pas les récits de la
barbarie.
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