Sud-Ouest 27 septembre 2018. Un club d’arts martiaux
vient de s’ouvrir à Saint-Jean-de-Luz. Son nom : Borroka combat. Son président assure que ce nom n’a rien à voir
avec « calle borroka », le
nom des manifestations violentes organisées par ETA. Une violence de bas niveau
disait-on : juste des vitrines brisées, des poubelles incendiées. Dans ces
manifestations, ETA recrutait ses membres parmi ceux qui souhaitaient passer d’une
violence « bas niveau » à une violence terroriste. Le président de ce
club assure que le nom de « borroka
combat » n’a rien à voir avec calle
borroka. Ce nom a été imaginé il y a une dizaine d’années en allusion à une
lutte antique au Pays Basque.
Et les presos sont des « prisonniers politiques » dont le nom a
été imaginé en allusion à des massacres antiques au Pays Basque.
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