Malédiction
J’ai été exclu du Parti communiste en 1981 par Georges
Marchais. J’ai ensuite adhéré au Parti socialiste, d’abord à Paris, sans
difficulté particulière, dans l’arrondissement du 18ème, qui
comprenait Lionel Jospin, Daniel Vaillant, Bertrand Delanoë, Myriam El Khomry…
Puis j’ai transféré mon adhésion à la section de Biarritz et depuis, la
malédiction a repris. Les trois secrétaires de cette section ont tous les trois
successivement demandé mon exclusion.
Qu’y-a-t-il de commun entre les quatre ? Un
repli sectaire et territorial qui a conduit le PCF à 1,5% et qui risque de
faire disparaître le réformisme de gauche du Pays Basque et de la scène
politique française, comme il commence à s’effacer en Europe.
Chacun d’entre nous peut éviter le désastre et d’abord
en se déplaçant pour voter aux primaires du PS, les 22 et 29 janvier prochain. Ne
laissons pas la gauche réformiste à tous ceux qui se contentent de
manifestations réussies et d’élections ratées.
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