Je la connaissais. Une
jeune femme d’une trentaine d’années vient de se suicider. Elle avait été
violée pendant son adolescence et ne s’en est jamais remise. Personne n’oserait demander qu’on prenne en
compte la souffrance du violeur et de sa victime.
Personne ? Si. Les
abertzale et les soutiens des prisonniers basques condamnés pour activités
terroristes en bande armée, comme Jean-René Etchegaray demandent qu’on « prenne
en compte la souffrance des prisonniers et de des victimes ».
Par milliers, les familles
des victimes de l’ETA tentent de survivre à l’horreur. Et ceux qui ont vécu
paisiblement dans le Pays Basque français demandent qu’on « prenne en
compte la souffrance des prisonniers et des victimes ».
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