Après le tango, le lumbago
Quand Vincent
Bru n’était que le candidat de La République en Marche, il pratiquait le tango.
Tantôt il avait signé une pétition contre le mariage pour tous, puis il ne l’avait
pas signée. Tango. Tantôt il était membre de La République en Marche, tantôt il
était Modem. Tango.
Pour le
soutien aux blanchisseurs d’ETA, ce fut plutôt paso. Pas de lumbago pour
visiter les prisonniers. Ils étaient « corrects ». Pas de lumbago,
pas de tango pour ériger en sculpture le symbole de l’ETA, une hache funèbre.
Paso.
A force vint
le temps du lumbago. (voir l’article de sud-ouest
1 septembre 2018 sur Facebook). Il
devait défendre la politique du logement du gouvernement qu’il soutient, mais n’a
pas pu se rendre à Bunus. Ni envoyer un remplaçant. Ni demander à un militant d’en
marche de le remplacer. Ce fut le temps du lumbago.
Le mois
prochain, Emmanuel Macron rencontre Pedro Sanchez pour célébrer les succès de
la lutte anti-terroriste de la France et d’Espagne. Remise des armes, remise
des dossiers d’enquête. Tout ce que le député de la République en tango (LRET) a condamné avec les blanchisseurs. Vincent Bru
hésite. Sera-ce le temps du tango, du paso ou du lumbago ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire