Il y a quinze
jours, j’écrivais ceci :
« Beaucoup
sont surpris que Mémoire et Vigilance,
un si petit groupe, soit reçu par le Préfet, par la Chancellerie, par le
président du Conseil départemental, par une députée, par des associations de
victimes en Espagne, par des députés européennes, par des personnalités comme
Fernando Savater.
Pourquoi ?
La réponse est évidente : nous ne sommes pas nombreux, mais nous sommes
les seuls. Les seuls à dénoncer la supercherie des blanchisseurs, la soumission
des élus et des partis à la feuille de route des demi-soldes de l’ETA.
Que nos succès
ne nous montent pas à la tête. Il suffirait qu’un parti, un groupe d’élus, une
association connue, reprenne nos revendications, partage nos inquiétudes, pour
que du jour au lendemain, nous disparaissions ».
Voilà, c’est
arrivé. La République en Marche a décidé de prendre position contre les
identitaires et de dénoncer la supercherie des blanchisseurs de l’ETA. A l’occasion
de la rencontre prévue le 1 octobre entre Macron et Sanchez. Le Pays Basque en
France redevient une terre pluraliste où se confrontent les identitaires et les
républicains.
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