mardi 2 avril 2019

en marche vers l'Europe


 

La République en Marche mène campagne pour le progressisme contre le nationalisme. La liste « renaissance » prendra contact avec le PSOE pour former un groupe au parlement européen. La ligne est clairement fixée. Il faut en tirer toutes les conséquences.

 

Nous avons l’exigence de ne pas brouiller l’objectif.

 

Ainsi : sur la Catalogne. 41 sénateurs, dont André Gattolin de La République en Marche, plus communistes, insoumis, écolo, ont signé une pétition apportant leur soutien aux séparatistes catalans. En réponse à cette pétition, le gouvernement français a apporté son soutien au gouvernement espagnol.

 

Avec quelques universitaires, (Beatrice Gibelin, Barbara Loyer…) nous avons signé une pétition contre la pétition des sénateurs. Cette pétition a été reprise dans la presse espagnole. Les signataires ont été invités à petit déjeuner à l’ambassade d’Espagne.

 

Je souhaite que ma démarche soit reprise par La République en Marche du Pays Basque.

 

Sur les prisonniers basques. Les élus, dont les nôtres, soutiennent les positions séparatistes sur cette question. Ils manifestent et envoient des délégations au préfet, à la chancellerie. Je propose que La République en Marche envoie des délégations au préfet et à la chancellerie pour soutenir la position du gouvernement français et espagnol sur cette question.

 

Sur la question de la langue basque. Nos élus envoient des délégations au rectorat, au préfet pour soutenir les positions séparatistes. Je propose que La République en Marche rencontre le rectorat et le ministère sur cette question en fixant une ligne simple : répondre aux demandes mais ne pas créer d’offre dont la seule justification est politique.

 

Sur le G7 : un comité « non au G7 » organise des manifestations contre le sommet de Biarritz. Je propose que soit rendu public un texte « Oui au G7 » que j’ai rédigé à la demande du référent et qui dort dans un tiroir.

 

 Avant le 26 mai, deux universitaires anglais actifs dans la campagne contre le Brexit, ont accepté de venir discuter avec nous sur leur campagne. La date n’est pas encore fixée, je vous la ferai connaitre.

 

Un dernier point. Lors de notre dernière réunion La République en Marche avec Laetitia Avia, Xavier Larramendy a « répondu » à mon intervention en me demandant si j’étais basque. Il m’a demandé où j’étais né. Je ne lui ai pas répondu sur le moment. Je ne sais pas si sa question était progressiste ou nationaliste.

 

Etant apaisé, je lui réponds. Je suis né à Lille dans le Nord.

 

Xavier Larramendy va-t-il maintenant demander une prise de sang ?

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