après avoir donné de mauvais exemples, voici venir l'âge des bons conseils.
mardi 29 novembre 2016
Qui l'aime le suive
Jean-Luc Mélenchon, a salué la mémoire d’un des derniers
dictateurs de la tradition marxiste-léniniste, Fidel Castro. À la différence
des Cubains, il n’était pas obligé. Il ne risquait rien de critiquer le régime
castriste. Il a donc célébré librement, par conviction, le naufrage de la
révolution castriste. Pour autant, il ne va pas organiser une guérilla dans les
Cévennes, il se présente aux élections, mot intraduisible en castro-espagnol,
parle dans les médias et réclame des débats, autres mots intraduisibles,
organise des réunions publiques d’opposant, sans risquer le cachot.
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