France
2 15 août 17. Reportage sur la commission de libération anticipée, qui
conseille le Juge d’application des peines. La question qui est posée est
évidemment celle des risques de récidive, de l’insertion éventuelle. Ce qui
domine est l’attitude des prisonniers vis-à-vis de leur victime. Si l’on
constate un manque total d’empathie à l’égard des dégâts humains provoqués, la
commission émet généralement un avis négatif.
Dans
le cas des prisonniers basques emprisonnés pour activités terroristes, la question
du pardon demandé est tout aussi centrale. Demander pardon aux victimes ou à
leur famille est un élément important de leur libération anticipée.
Au
Pays Basque français, les blanchisseurs de la terreur qui souhaitent
rapprochement, libération anticipée, voire amnistie, la question du pardon, de
l’empathie à l’égard des victimes n’est jamais posée.
J’espère
que certains d’entre eux ont regardé l’émission. Sinon, ils peuvent la regarder
en replay pendant toute la semaine.
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