Mikel
Irastora, en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une
entreprise terroriste », considéré comme l’un des derniers chefs de l’ETA,
a été libéré mardi 8 août sous contrôle judiciaire.
Ainsi
se confirme l’adage qui ne cesse de hanter les jours et les nuits des familles
des 829 victimes de l’ETA : « on sort plus facilement de prison que
du cimetière ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire