Vive
le Front républicain !
Alors que la République s’adresse à
tous, les extrêmes bruns ou rouges s’arrogent le droit de définir la Nation , d’exclure, de
censurer, d’emprisonner, d’éliminer.
Leurs principes se vérifient dans leurs
relations internationales. Amitiés avec Poutine, Hussein, Castro. Relations au
Parlement européen avec les partis qui refusent de condamner les crimes
staliniens ou les crimes nazis.
Ces principes et ces politiques ont été
appliqués dans le passé dans de nombreux pays. Ils s’appliquent dans le
présent. Dans des pays que fuient les habitants. Des pays qui refusent les relations
internationales, qui ferment leurs frontières,
qui censurent, qui emprisonnent les opposants, qui pratiquent la préférence
nationale. Les modèles les plus achevés en sont l’Iran et la Corée du Nord, où le danger
de l’immigration clandestine ont été écartés et où la préférence nationale est
la règle. Des pays qu’il faut aimer ou quitter.
Telle est la ligne de partage ultime en
politique. La République
universelle contre les partisans du dépeçage, des divisions, des mises à
l’écart. Pourtant, devant les difficultés, la tentation des partis républicains
de droite et de gauche est de durcir le discours, de tirer à eux les couvertures
de l’extrémisme.
Le Front républicain a permis en son
temps de protéger la France
contre le danger communiste. La social-démocratie a été la pièce maîtresse de
ce rempart. À nouveau, la social-démocratie doit être la pièce maîtresse contre
les menaces qu’incarne le Front national.
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