samedi 16 décembre 2017

des deux côtés


Je la connaissais. Une jeune femme d’une trentaine d’années vient de se suicider. Elle avait été violée pendant son adolescence et ne s’en est jamais remise.  Personne n’oserait demander qu’on prenne en compte la souffrance du violeur et de sa victime.



Personne ? Si. Les abertzale et les soutiens des prisonniers basques condamnés pour activités terroristes en bande armée, comme Jean-René Etchegaray demandent qu’on « prenne en compte la souffrance des prisonniers et de des victimes ».



Par milliers, les familles des victimes de l’ETA tentent de survivre à l’horreur. Et ceux qui ont vécu paisiblement dans le Pays Basque français demandent qu’on « prenne en compte la souffrance des prisonniers et des victimes ».

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