mercredi 12 septembre 2018

clandestinité


Je reçois de Loïc Corrégé, le référent de La République en Marche 64, un étrange courriel :

 

« Il nous a été signalé que les tenants et les aboutissants du Projet départemental n’étaient pas clairs ». Voici ces éclaircissements :

 

Le groupe projet départemental a été initié en mars cette année. Avec appel à candidatures. Les candidats ont été reçus par  les deux animateurs.  Qui sont ces animateurs ?

 

Il apparaît que dans La République en Marche 64 un comité politique de treize membres prépare le programme pour les élections. Quelles élections ? On ne sait pas. Ce comité comprend trois sous-groupes, sur quels thèmes ? On ne sait pas. Qui est responsable ? On ne sait pas. Aucun nom des responsables de ces sous-groupes.

 

Ce groupe prépare un projet départemental traitant des enjeux et des problématiques du département, pour un « programme électoral ». Élections européennes ? Municipales ?

 

 

Chaque groupe pourra recevoir des avis. De qui ? Sur quels thèmes. Comment se proposer pour donner un avis ? Est-ce que les questions identitaires font parties de sujets en discussion ? On ne sait pas.

 

 

Il est des pays où les partis politiques sont interdits, où les mouvements fonctionnent dans la clandestinité, où il faut taire les noms des responsables. Dans ces pays, les militants cultivent une urgente culture du secret. Est-ce le cas au Pays Basque ?

 

Je ne peux vous révéler qu’une seule information : je n’en fais pas partie. J’ai envoyé ma candidature, je n’ai jamais eu de réponse.

 

 

 

 

 

             

           

 

 

 

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