samedi 1 septembre 2018

danses de salon


Après le tango, le lumbago

 

 

Quand Vincent Bru n’était que le candidat de La République en Marche, il pratiquait le tango. Tantôt il avait signé une pétition contre le mariage pour tous, puis il ne l’avait pas signée. Tango. Tantôt il était membre de La République en Marche, tantôt il était Modem. Tango.

 

Pour le soutien aux blanchisseurs d’ETA, ce fut plutôt paso. Pas de lumbago pour visiter les prisonniers. Ils étaient « corrects ». Pas de lumbago, pas de tango pour ériger en sculpture le symbole de l’ETA, une hache funèbre. Paso.

 

A force vint le temps du lumbago. (voir l’article de sud-ouest  1 septembre 2018 sur Facebook). Il devait défendre la politique du logement du gouvernement qu’il soutient, mais n’a pas pu se rendre à Bunus. Ni envoyer un remplaçant. Ni demander à un militant d’en marche de le remplacer. Ce fut le temps du lumbago.

 

Le mois prochain, Emmanuel Macron rencontre Pedro Sanchez pour célébrer les succès de la lutte anti-terroriste de la France et d’Espagne. Remise des armes, remise des dossiers d’enquête. Tout ce que le député de la République en tango (LRET)  a condamné avec les blanchisseurs. Vincent Bru hésite. Sera-ce le temps du tango, du paso ou du lumbago ?

 

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