mercredi 27 novembre 2019

révolution


J’aime la révolution





Beaucoup de films dénoncent le système et donnent la parole aux invisibles. Ken Loach, Guédigian, et un dernier film, les misérables. Auparavant, il y eut Les bas-fonds de Gorki, les Misérables  de Victor Hugo, David Copperfield  de Charles Dickens. Et Jack London. Ce sont des œuvres majeures qui nous donnent à voir.

Guédigian est parmi ceux-là et il cite Camus, à propos des récentes manifestations : « je préfère le désordre à l’injustice ».

Puis il raconte comment se font ces films (libé, 27/11/19). « Les films doivent coûter ce qu’ils rapportent. …si je dis à mon équipe que …je dois baisser les salaires de 20% sans diminuer le temps et les conditions de travail de chacun…tout le monde comprend. … tout le monde est co-bénéficiaire du film ».



J’aime les films de Guédigian et j’aime ce qu’il dit sur le système. Il ne parle pas du système des intérimaires du spectacle, il aurait pu.

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