Avez-vous remarqué qu’en Europe monte une vague
brunâtre. Extrême, identité, nationalisme, exclusion…à cette pollution de la
vie politique, même Emmanuel Macron, qui devrait faire partie de la digue, a
apporté quelques galettes dans une interview à valeurs actuelles.
Avatar de cette montée, le nationalisme basque auquel
il est si ardu de résister quand on est candidat à une fonction publique. Il y
a tous ceux qui se sont déjà couchés, derrière les Blanchisseurs d’ETA. Et ceux
qui qui se taisent quand il faudrait parler et se cachent derrière un ministre
dont l’épouse parle le basque.
Le tout dans
une situation politique dangereuse où se rencontrent un mouvement social et
tous ceux qui n’ont pas encore digéré la victoire d’Emmanuel Macron, qui veulent
leur revanche dans la « convergence des luttes ». Le rêve d’un grand
soir est à nouveau sur les étagères.
À Biarritz, pour des raisons mystérieuses, se
rencontrent toutes les faiblesses devant ces dangers, toutes les fissures dans
la digue nécessaire.
À Paris, le chef d’état demandent aux ministres d’expliquer
leur politique, de se battre pour les réformes. En réponse à cet appel, deux
ministres du gouvernement ont présenté un certificat médical justifiant leur
absence : ils sont partis pour une cure de thalasso à Biarritz.
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